Les voeux pour les fonctionnaires...de notre omniprésident..

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Christophe Leroy
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Les voeux pour les fonctionnaires...de notre omniprésident..

Message par Christophe Leroy » ven. janv. 11, 2008 11:12 am

Qui a entendu les voeux aux fonctionnaires de notre Omniprésident?
Et bien,rien rien et toujours rien...
Encore un discours de notre Président encore en campgne!
Si si,il nous souhaite beaucoup de courage en cas de coup dur et que la FP nous soutienne si un malheur nous arrive!
A ce niveau,si ça me laisse sans voix!!!!
Arnaud BASSEZ
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Message par Arnaud BASSEZ » ven. janv. 11, 2008 11:18 am

pourtant lui il en a eu des voix.
53.06% des suffrages.
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Message par Arnaud BASSEZ » ven. janv. 11, 2008 6:08 pm

lu sur le JIM

Roselyne Bachelot se départit rarement de son légendaire sourire et de sa bonne humeur. Rencontrant pour la seconde fois les représentants des praticiens hospitaliers ce jeudi 10 janvier pour évoquer le paiement des heures supplémentaires et des jours de congés accumulés sur les comptes épargnes temps, elle ne pouvait qu’arborer cette mine réjouie. Les discussions semblent en effet aller bon train si l’on en croit le dernier compte-rendu du ministre de la Santé. « Si les négociations se passent bien avec les syndicats et que nous trouvons un accord rapidement, les heures supplémentaires pourraient être payées en mars ou en avril », a prophétisé Roselyne Bachelot.

Le calendrier idyllique proposé par le ministre de la Santé ne devrait pas permettre d’apaiser la colère des syndicats d’urgentistes et d’anesthésistes qui ne cachent pas leur déception de ne pas avoir été reçus à la table des négociations. « On a l’impression d’être pris pour des imbéciles » a résumé en son style inimitable le président de l’Association des médecins urgentistes de France, Patrick Pelloux. Bien que jugeant très « honorables » les organisations reçues cette semaine (CPH, INPH, CMH, SNAM-HP), ce dernier a en effet rappelé qu’elles « n’étaient pas mandatées pour parler du conflit » qui opposent les urgentistes et les anesthésistes aux pouvoirs publics. Aussi, un durcissement de la grève s’annonce avec une journée « hôpital mort » prévue le 24 janvier et une grève des soins non urgents le 17 janvier. « Le 17, avec les anesthésistes, on va dire aux gens que ceux qui viennent sur leurs deux pieds aux urgences retourneront vers les cabinets de ville », a expliqué l’AMUF, alors qu’une assemblée générale doit confirmer ce mot d’ordre ce vendredi soir.

Cette radicalisation du mouvement qui ouvrira peut-être les portes de l’Avenue de Ségur aux urgentistes et anesthésistes en colère se lit également dans les communiqués des syndicats. C’est ainsi que le Syndicat national des praticiens hospitaliers anesthésistes réanimateurs (SNPHAR) se risque au petit jeu des notations : « A l’heure de l’évaluation des ministres souhaitée par Nicolas Sarkozy, la note attribuée à Roselyne Bachelot est à ce jour de 3/20 », tacle l’organisation.

Si les négociations se passent bien avec les syndicats et que nous trouvons un accord rapidement, les heures supplémentaires pourraient être payées en mars ou en avril
et nous ?
on bouge ?
ah non, on dort, c'est vrai que c'est la base de notre métier.
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Message par Christophe Leroy » ven. janv. 11, 2008 11:01 pm

J'en suis au point de me demander comment faire bouger ma profession....par exemple ,mes collègues ne se tiennent meme pas au courant des textes (meme peu nombreux ) qui sortent pour nos déplafonnements d'HS ou pour la défiscalisation des HS ! Elles préfèrent juste montrer qu'elles sont IADE et que c'est des responsabilités...etcetc.Mais plus ,rien nada!
Et je passe les jeunes diplomés qui connaissent rien de leurs droits (par contre,ils ont bien une trouille monstre de l'administration....).
Vers quelle voie allons-nous?
Un sur six à montrer les dents dans un établissement,ça fait pas trop..et t'es vite connu! :twisted:
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Message par Arnaud BASSEZ » sam. janv. 12, 2008 7:36 pm

en même temps ça t'évitera de faire une carrière avec un risque de cancer de l'anus.
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Éric DELMAS

Message par Éric DELMAS » dim. janv. 13, 2008 8:39 am

La défense professionnelle demande de l'apprentissage.
Nous avons payé très cher en 1988 notre "jeunesse" politique et syndicale en nous faisant refiler une moyenne de 500 F. mensuels et piquer 1/4 d'ancienneté sur la carrière.
En 91, nous avions partiellement tiré les leçons de nos erreurs passées et nous avons pu éviter les pires erreurs. J'ai encore en tête les nuits passées à faire des simulations de carrière avant de les présenter en AG pour éviter que des mots d'ordre apparemment séduisants ne se transforment en catastrophes pratiques.
Aujourd'hui, nous sommes en pleine relève générationnelle.
Or, qu'observe-t-on ?
Globalement, le niveau de nos collègues est revenu à ce qu'il était avant 1988.
L'émergence de sites comme Infirmiers.com et laryngo en sont la partie émergée et rien de plus.
Finie la volonté de travailler les dossiers et les textes de loi.
Au mieux on vous les présente en vrac et on vous laisse vous démerder avec, au pire on développe le côté discussion de comptoir et consoles de jeux afin de continuer à abêtir une profession dont les cerveaux devraient être entièrement tournés vers la maîtrise des dossiers afin de résister à l'Administration.
En 2000 et 2001, quoi qu'en pensent les plus comique sde nos collègues, nos négociateurs ont réussi un véritable exploit.
Celui d'obtenir enfin une grille de salaire qui fixait de façon presque définitive notre exclusivité professionnelle et nous garantissait, outre un meilleur déroulement de carrière, une protection contre la volonté de réintégration dans le corps infirmier général qui nous menaçait comme une épée de Damoclès. Alors, un démarrage de carrière un peu moins fulgurant, certes c'est rageant mais, ce n'est rien comparé à un retour aux faisant-fonction ou à la VAE.
Aujourd'hui, le désir de gagner plus oblitère encore le jugement de certains d'entre-nous.
Les HS ou les RTT ne doivent pas nous être payés avec x% de plus sur la base de notre salaire actuel car, cela reviendrait à valider un salaire sans rapport, ni avec nos compétences, ni avec nos responsabilités.
C'est sur le front du salaire de base qu'il faut se battre.
Exiger la reconnaissance de nos cinq ans d'étude et de notre pratique réelle, quitte à la bétonner en y faisant rajouter officiellement les actes techniques qui relève de nos légitimes prérogatives, tant il est vrai qu'un geste est toujours mieux reconnu d'un administratif ministériel qu'une démarche diagnostique et thérapeutique.
C'est sur ce terrain que nous devons nous battre.
Et il faut admettre que quelques étudiants provinciaux - qui n'ont jamais approché même de loin la réalité des luttes professionnelles et dont l'expérience politique, syndicale et juridique est légèrement inférieure à zéro - même s'il tiennent des outils de communication important ne peuvent pas nous aider mais aident activement et, je l'espère, involontairement, nos pires ennemis en nous maintenant dans un niveau de préoccupation digne d'une cour de récréation.
Il faut donc qu'une nouvelle vague de collègues prêts à sacrifier leur temps et leur ego, se lance dans l'étude pour atteindre le niveau d'excellence des meilleurs d'entre-nous et se donner les moyens de défendre nos dossiers efficacement.
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Message par Arnaud BASSEZ » lun. janv. 18, 2010 1:30 pm

Un petit article qui m'a fait sourire

Et puis je rappelle qu'en visite à l’hôpital de Perpignan, où il a inauguré un nouvel établissement, le chef de l’État a eu cette phrase définitive
" mourir, ce n'est pas facile"
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Message par Gaetan CLEMENCEAU » dim. janv. 24, 2010 10:10 am

Éric DELMAS a écrit :La défense professionnelle demande de l'apprentissage.
Nous avons payé très cher en 1988 notre "jeunesse" politique et syndicale en nous faisant refiler une moyenne de 500 F. mensuels et piquer 1/4 d'ancienneté sur la carrière.
En 91, nous avions partiellement tiré les leçons de nos erreurs passées et nous avons pu éviter les pires erreurs. J'ai encore en tête les nuits passées à faire des simulations de carrière avant de les présenter en AG pour éviter que des mots d'ordre apparemment séduisants ne se transforment en catastrophes pratiques.
Aujourd'hui, nous sommes en pleine relève générationnelle.
Or, qu'observe-t-on ?
Globalement, le niveau de nos collègues est revenu à ce qu'il était avant 1988.
L'émergence de sites comme Infirmiers.com et laryngo en sont la partie émergée et rien de plus.
Finie la volonté de travailler les dossiers et les textes de loi.
Au mieux on vous les présente en vrac et on vous laisse vous démerder avec, au pire on développe le côté discussion de comptoir et consoles de jeux afin de continuer à abêtir une profession dont les cerveaux devraient être entièrement tournés vers la maîtrise des dossiers afin de résister à l'Administration.
En 2000 et 2001, quoi qu'en pensent les plus comique sde nos collègues, nos négociateurs ont réussi un véritable exploit.
Celui d'obtenir enfin une grille de salaire qui fixait de façon presque définitive notre exclusivité professionnelle et nous garantissait, outre un meilleur déroulement de carrière, une protection contre la volonté de réintégration dans le corps infirmier général qui nous menaçait comme une épée de Damoclès. Alors, un démarrage de carrière un peu moins fulgurant, certes c'est rageant mais, ce n'est rien comparé à un retour aux faisant-fonction ou à la VAE.
Aujourd'hui, le désir de gagner plus oblitère encore le jugement de certains d'entre-nous.
Les HS ou les RTT ne doivent pas nous être payés avec x% de plus sur la base de notre salaire actuel car, cela reviendrait à valider un salaire sans rapport, ni avec nos compétences, ni avec nos responsabilités.
C'est sur le front du salaire de base qu'il faut se battre.
Exiger la reconnaissance de nos cinq ans d'étude et de notre pratique réelle, quitte à la bétonner en y faisant rajouter officiellement les actes techniques qui relève de nos légitimes prérogatives, tant il est vrai qu'un geste est toujours mieux reconnu d'un administratif ministériel qu'une démarche diagnostique et thérapeutique.
C'est sur ce terrain que nous devons nous battre.
Et il faut admettre que quelques étudiants provinciaux - qui n'ont jamais approché même de loin la réalité des luttes professionnelles et dont l'expérience politique, syndicale et juridique est légèrement inférieure à zéro - même s'il tiennent des outils de communication important ne peuvent pas nous aider mais aident activement et, je l'espère, involontairement, nos pires ennemis en nous maintenant dans un niveau de préoccupation digne d'une cour de récréation.
Il faut donc qu'une nouvelle vague de collègues prêts à sacrifier leur temps et leur ego, se lance dans l'étude pour atteindre le niveau d'excellence des meilleurs d'entre-nous et se donner les moyens de défendre nos dossiers efficacement.
http://www.snia.net entre autres......
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Message par Arnaud BASSEZ » jeu. janv. 28, 2010 8:13 pm

Débat sur TF1 : Une infirmière face au président de la république

Le président de la République, Nicolas Sarkozy, a reconnu lundi soir la pénibilité du travail des infirmières et a assuré que ce sujet serait discuté avec les syndicats dans le cadre de la réforme de leur statut, lors d'une émission en direct intitulée Parole de Français sur TF1.

Parmi les 11 Français sélectionnés pour s'entretenir avec le président, figurait une infirmière du service des urgences du CH d'Argenteuil (Val-d'Oise), en milieu de carrière. Elle a interpellé Nicolas Sarkozy sur la dégradation de ses conditions de travail, en évoquant notamment les soins à donner dans les couloirs et l'agressivité des patients et de leur famille à supporter. Elle a également fait part de son inquiétude quant à l'évolution de son métier.

Nicolas Sarkozy a répondu en rappelant qu'il avait accédé à la demande de reconnaissance de la profession d'infirmière au niveau licence dans le cadre du dispositif LMD (licence, master, doctorat) et à leur passage en catégorie A, ce qui représente 2.000 euros net de plus par an, a-t-il affirmé.

"Mais, en contrepartie, je leur ai demandé quelque chose, (...) vous serez mieux payées, vous êtes en catégorie A mais vous partez à la retraite à 60 ans", contre 55 ans pour le statut actuel, a-t-il rappelé.

"Une infirmière qui adore son travail qui est en pleine forme à 55 ans (...), si elle veut continuer, pourquoi la mettre à la retraite, pourquoi l'obliger, au nom de quoi ?", a-t-il lancé.

Interpellé à nouveau par l'infirmière sur l'importance de la pénibilité de ce métier, qui peut rendre un départ à 60 ans plus difficile, Nicolas Sarkozy a reconnu l'existence de ce problème. "On en reparlera avec les syndicats parce que [la pénibilité] est un sujet extrêmement complexe", a-t-il déclaré.

Les discussions sur la dernière version du projet de protocole réformant le statut des infirmiers et permettant leur passage en catégorie A suscitent encore des critiques sur le départ à la retraite à 60 ans, rappelle-t-on.
39% des hôpitaux en déficit

L'animateur du débat, Jean-Pierre Pernaut, a évoqué les économies dans le monde de la santé en prenant l'exemple des suppressions de postes prévues à l'Assistance publique-hôpitaux de Paris (AP-HP) mais Nicolas Sarkozy n'est pas revenu sur cet aspect du sujet.

Plus généralement sur l'hôpital, il a affirmé qu'il n'y avait pas d'"économies" car le budget des hôpitaux avait augmenté de 2 milliards d'euros en un an et de 23 milliards sur les dix dernières années.

Mais "il y a 39% des hôpitaux en déficit, comment fait-on?", a observé le président de la République en refusant les mots de logique comptable.

Il y a des dépenses incontestables, comme l'IRM et les chimiothérapies, mais "tout le monde ne pourra pas garder son hôpital à la porte de chez lui", a-t-il rappelé.

"Je suis obligé de faire en sorte qu'on rationalise les choses" car "l'hôpital ne fait pas de l'aménagement du territoire, il fait de la santé" et il doit rester le lieu des soins aigus, a-t-il poursuivi.

Interrogé par ailleurs sur les difficultés rencontrées par les contractuels dans la fonction publique, Nicolas Sarkozy s'est déclaré "tout à fait prêt à envisager la titularisation progressive des contractuels pour ne pas les laisser en situation de précarité". "Le problème des contractuels est absolument injuste", a-t-il estimé.

Enfin, il a rappelé sa volonté de régler en 2010 le problème de la dépendance, "question extrêmement angoissante". "Nous allons créer un cinquième risque, celui de la dépendance, pour augmenter le nombre de places" en maisons de retraite médicalisées, a-t-il ajouté.

Le débat sur la dépendance organisé par la secrétaire d'Etat aux aînés, Nora Berra, devrait avoir lieu fin mars-début avril, rappelle-t-on.



Paris, 27 janvier 2010 (APM)
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Message par Arnaud BASSEZ » mer. juin 16, 2010 7:27 pm

source agoravox.fr


Une effarante accumulation de scandales autour du pouvoir et de Sarkozy

Médiapart devient un poids lourd dans la révélation des scandales qui entourent le président. Il y a bien sûr l’affaire Karachi, dont on va un peu parler, avec leur livre en plus de leurs révélations, mais il y a tout récemment une autre bombe, ce matin-même à propos de la possible évasion fiscale de Liliane Bettencourt aidée en cela par la femme d’Eric Woerth, sa gestionnaire de fortune, et des liaisons, selon Médiapart, avec l’ex ministre du budget, - il faut rappeler qu’il est aussi trésorier de l’UMP, j’y reviendrai - ainsi qu’une possible intervention élyséenne dans le procès intenté par la fille à sa mère.
Pour bien nous rafraîchir la mémoire faisons une petite liste des quelques indélicatesses :

* la nuit du Fouquet’s offerte par Desmarais
* le Paloma (plusieurs centaines de milliers d’euros pour 4 jours) payé par Bolloré
* Air Bolloré pour le voyage en Egypte
* la villa à Wolfeboro offerte par des amis de Prada et Tiffany
* le voyage mexicain dans une villa d’un banquier condamné aux USA pour blanchiment d’argent de la drogue
* 5 Nissan 4X4 mis à disposition gracieuse pour la famille Sarkozy Bruni à Megève quand on licenciait 20 000 personnes
* cocktail à New Tork qui a coûté 200 000 €
* concert payé à Jaunni pour le 14 juillet, l’évadé fiscal et ami du couple présidentiel (1 et quelques millions d’euros)
* le repas de l’UPM à 1 million d’euros et une douche
* le salaire de Boutin
* les 12 000 euros de cigares de Christian Blanc en un an payé par l’Etat, puis contrôle fiscal avec suspicion de dissimulation
* les repas bi-tri hebdomadaires du chef de l’Etat au Bristol (menu à 200 €) alors qu’il y a un chef payé à l’année à l’Elysée
* les invitations permanentes des élus UMP à des cocktails, repas, déjeuners, petits déjeuners dîners à l’Elysée par centaines d’invités et par dizaines d’invitations
* le budget voyage de l’Elysée explosé
* l’aménagement de Air Sarkozy One plusieurs centaines de millions d’euros
* le fils Bachelot et son poste dans un organisme dépendant du ministère de sa mère
* la fameuse affaire de l’Epad
* le fils Pierre emmené, comme le fils Louis, dans des voyages officiels d’agrément comme le Maroc, le Mexique, l’ONU ou les jeux Olympiques, quand ils n’ont aucune charge de responsabilité politique ni industriel
* la réservation de la suite junior pour Rama Yade (plus de 600 € la nuit) pour son voyage en Afrique du sud
* l’affaire des préfets saqués (pour des sifflets et pour crime de lèse pelouse)
* le coût astronomique des voyages sécurisés du Président de la République, coûts directs et indirects par paralysie des villes
* les sondages et les rémunérations illégales et énormes des conseillers en « sondagistique » Giacometti et Buisson (enquête refusée par le parlement UMP)
* déclaration new yorkaise concernant la culpabilité avant procès, procès qui a relaxé Villepin
* l’affaire Tapie avec 45 millions d’euros d’indemnités
* conseil donnés au Président de la République par un conseiller du ministère de la justice dans l’affaire Clearstream
* Président attaquant en justice alors qu’il est protégé par son immunité ce qui crée une distorsion devant la justice et une inégalité certaine et préjudiciable
* le voyage d’Estrosi en jet privé depuis New York payé par l’Etat,
* l’appartement de fonction de Fadela Amara illégalement mis à disposition de sa famille
* Pérol nommé à la tête du regroupement des Caisses d’Epargne et des Banques populaires
* Richard nommé à la tête d’Orange, Richard condamné pour fraude fiscale, qui a reversé au trésor public 660 000 € en septembre 2007, alors directeur de cabinet du ministère de l’économie (on croit rêver) dont 5 % pour mauvaise foi
* Michèle Laroque, compagne d’un certain Baroin, ex Chiraquien reconverti, revient d’urgence se fiscaliser en France après une évasion de plusieurs années aux USA dans l’Etat du Nevada le moins fiscalisé,
* rémunération illégale du Président de la République de septembre 2007 au 31 décembre 2007
* les légions d’honneur distribuées comme des petits pains aux amis du pouvoir dont le Belge Frère et le Canadien Desmarais, les amis couturiers de Clara, les copains Clavier et Réno…

etc

Venons aux trois gros morceaux.

1- Tout d’abord l’affaire Clearstream. Instrumentalisation de la justice, justice qui passe étrangement à côté d’une certaine Michèle Alliot Marie, ministre de la défense à l’époque des faits, ministre proche de l’espion Rondot, ministre qui donc savait mais n’a même pas été interrogée, ministre étrangement impliquée dans d’autres affaires comme l’affaire Boulin où elle savait avant même que la justice ne rejette pour une troisième ou quatrième fois la demande de révision du procès, les courriers et enveloppes ayant judicieusement disparu en mars 2010. Etrange affaire Clearstream où le principal accusé et accusateur Imad Lahoud avait rencontré de très nombreuses fois un certain Pérol, très proche collaborateur de Nicolas Sarkozy, dont la femme était amie d’une certaine madame Woerth et avait travaillé avec ce même Woerth dans son cabinet (20 minutes) : Imad Lahoud aurait également, selon les policiers, organisé le 25 février 2004, quelques semaines avant l’envoi de listings falsifiés à la justice, une réception à laquelle participait François Pérol, Gilles Grapinet, conseiller de Jean-Pierre Raffarin à Matignon et le beau-frère de Dominique de Villepin, Michel Piloquet.

Plus loin, on apprend que le 5 mai 2005, c’est l’actuel ministre du Budget, Eric Woerth, qu’invite Imad Lahoud, dont l’épouse, Anne-Gabrielle Heilbronner, dirige alors le cabinet. De même, l’actuelle secrétaire d’Etat à l’Economie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, a partagé à deux reprises avec son époux, à l’époque cadre chez EADS, la table d’Imad Lahoud.

Le rapport révèle enfin que le faussaire présumé a également déjeuné avec Bernard Casanova, alors proche de Bernard Squarcini, l’actuel patron de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et Brigitte Henri, qui travaillait alors avec le directeur central des Renseignements généraux (DCRG), Yves Bertrand.

On le voit ce cher, très cher Woerth se retrouve partout. Il est évident que dans une démocratie qui se respecte le ministre du budget ne peut en même temps être le trésorier du parti au pouvoir, mais cela est possible en Sarkoland. Ce même Woerth qui est allé en Suisse chercher des financements pendant la campagne électorale d’un candidat, un certain Nicolas Sarkzoy (Le Matin) : Ce 23 mars 2007, Eric Woerth, alors trésorier de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, était venu en ami à Genève. Patrick Devedjian, à l’époque député des Hauts-de-Seine, l’accompagnait. Cette visite en Suisse avait un but : récolter de l’argent pour financer l’« effort de guerre » du candidat de la droite, opposé à sa rivale socialiste, Ségolène Royal. Le comité de soutien UMP Suisse avait vu grand pour accueillir les émissaires de Sarkozy : une réception à l’Hôtel Crowne Plaza en début de soirée, suivie d’une réunion au Caviar House, dans la très chic rue du Rhône, avec le « premier cercle », autrement dit, les donateurs les plus fortunés.

Banquier français amer
« Eric Woerth ne cherchait pas alors à savoir si les chèques qu’on lui remettait étaient prélevés sur des comptes suisses non déclarés au fisc français », raconte un banquier français opérant dans une banque genevoise. S’il parle au « Matin Dimanche » aujourd’hui, c’est qu’il est dégoûté par les « techniques peu glorieuses » employées en ce moment par le même Woerth pour faire plier les évadés fiscaux.

En 2007, les Français ayant placé illégalement leur fortune en Suisse, « pouvaient espérer qu’une fois élu, Nicolas Sarkozy ferait voter une amnistie fiscale, poursuit le banquier désenchanté. Mais le président de la République préfère écouter la rue, qui lui demande de punir les riches. »
[…] Avant de devenir président de la République, Nicolas Sarkozy fut, notamment, avocat d’affaires. A ce titre, il accompagnait des clients à Genève et les introduisait auprès de financiers, rapporte le site Rue89 en date du 2 avril 2009.

2- De ce lourd scandale de Clearstream il faut se souvenir que cela a un lien avec le Luxembourg et au départ avec l’affaire des frégate de Taïwan, Luxembourg qui par sa police a fait savoir qu’elle soupçonnait Nicolas Sarkozy d’être clairement impliqué dans la création de la société Heine qui a reçu les commissions des ventes des sous-marins à Karachi mais également aussi semble-t-il des ventes à l’Arabie saoudite ou a essayé. Cette société a été crée avec l’aval obligatoire du ministère du budget dont Nicolas Sarkozy était le ministre. Mais il n’y a pas que la police qui sait. Il y a aussi un certain Boivin, dirigeant de cette société qui a continué ses activités malgré l’interdiction de toucher des commissions de vente d’arme. Ce même Boivin, selon le Nouvel Obs (papier, de la semaine passée) aurait touché les 8 millions d’euros qu’il réclamait. Il avait envoyé des lettres qui ressemblaient fort à un chantage déguisé à différentes personnalités dont Chirac et Sarkozy. Sarkozy qui parle de fable, mais là c’est du lourd et très lourd. Ce même Boivin a changé de nationalité pour devenir Luxembourgeois. Il aurait déposé dans une banque des documents, une sorte d’assurance vie, qui prouveraient les implications des politiques dans les rétrocommissions en particulier le même montant que l’argent déposé en liquide sur les comptes de campagne d’un certain Edouard Balladur avec pour proche collaborateur un certain Nicolas Sarkozy. Et c’est là où l’on retrouve à nouveau MAM. Libération a pu consulter les documents que s’est procurés la police luxembourgeoise. On ne peut qu’être effaré de ce qu’on apprend : Selon des documents inédits obtenus par Libération, cette société offshore a pu servir à violer la législation anticorruption, au moins jusqu’en 2005. Tandis qu’elle a entretenu, au moins jusqu’en 2009, des relations directes avec les plus hautes autorités politiques françaises - dont l’actuel président de la République. Un rôle étonnant pour une société implantée dans un paradis fiscal et qualifiée de « shadow company » (entreprise de l’ombre) par l’un de ses principaux administrateurs, Jean-Marie Boivin, homme-orchestre des commissions sur les marchés de l’armement.Ainsi, dans une lettre du 29 novembre 2006, le comptable luxembourgeois de Heine, Yves Schmit, s’adresse-t-il à Nicolas Sarkozy, pourtant ministre de l’Intérieur, pour régler un problème capitalistique touchant la société. Et en des termes révélateurs d’un lien de subordination : « Votre lettre du 28 septembre nous est bien parvenue. Mais à ce jour, elle n’a pas été suivie d’effet. Nous n’avons toujours pas reçu d’instruction de la part de l’Etat français » (voir fac-similé ci-dessus).

Deux mois plus tard, le 16 janvier 2007, dans un courrier à en-tête de Heine, Boivin demande à Michèle Alliot-Marie, alors ministre de la Défense, devenue depuis ministre de la Justice, de lui « accorder prochainement un rendez-vous ». Une démarche, semble-t-il, fructueuse. Car selon une décision méconnue jusqu’à ce jour émanant de la Haute cour de justice de l’Ile de Man, un accord a été passé sur cette île le 24 janvier 2009, entre Heine et un « représentant du gouvernement français », avec la participation de deux fleurons de l’armement national, Thales et la DCNS (successeur de la Direction des constructions navales). Il prévoit le versement de 8 millions d’euros d’honoraires à Jean-Marie Boivin. Pour prix de son silence ?

Tutelle. Si MAM n’est que l’un des nombreux interlocuteurs de Heine, et pas forcément le plus assidu, son cas soulève un conflit d’intérêt. En 2007, elle intervient comme ministre de la Défense, alors que la DCNS appartient à 74% à l’Etat. Deux ans plus tard, elle est mutée à la Justice, tutelle d’un parquet qui freine des quatre fers une enquête pénale visant les relations entre Heine et la DCNS…

Cette affaire est sans doute un des plus gros scandale que la France ait eu à connaître. Non seulement à l’époque des faits des ministres semblent y être impliqués, mais encore aujourd’hui. Les postes dont dépend la justice sont verrouillés. On oublie toujours un autre acteur majeur et pourtant il faut que cela se sache. Il s’agit d’un certain Hervé Morin. A l’époque des faits il est directeur de cabinet de François Léotard, qui l’a impliqué, ministre de la défense. Il ne pouvait évidemment pas ignorer les transactions en cours pour les ventes d’armes. Il était de fait impliqué. Et jusqu’au cou. Il faut également se souvenir de ce fait qui ajoute à son déshonneur. Il semblerait qu’en février 2007, en pleine campagne présidentielle, se disant le soutien de François Bayrou, il aurait négocié sa place de ministre de la défense - à la lumière de cette affaire de Karachi on peut comprendre qu’il avait une monnaie d’échange - auprès de Sarkozy. De nos jours, ce même Morin est ministre de la défense. Il bloque la transmission aux juges chargés de l’enquête, juges qui avec courage s’acharnent à découvrir la vérité, des documents essentiels classés secret défense. Avec les deux postes clés, celui de la justice - on retrouve à nouveau MAM, l’épargnée du procès Clearstream, à nouveau en première ligne - et celui de la défense, détenus par des ministres qui n’ont d’autre choix que de ralentir sinon arrêter le chemin vers la vérité, on ne peut qu’être inquiet de savoir si cela va aboutir, sachant qu’en plus ce n’est rien de moins que le Président de la République qui semble impliqué. Ce dernier peut toujours parler de fable, mais la police luxembourgeoise, les documents saisis, la pugnacité de l’avocat des familles, et le semble-t-il séreux des juges d’instruction finiront peut-être à ce que ce qui semble être une triste et épouvantable réalité soit enfin dévoilée.

3- Après le scandale de niveau supérieur de Clearstream où la justice a été instrumentalisée avec la bonne volonté du procureur Marin, peut-être pour cacher l’autre immense scandale, celui de Karachi, voici un troisième scandale, celui révélé par Médiapart : Stupéfiant rebondissement dans l’affaire Liliane Bettencourt. La fille unique de la milliardaire, convaincue que sa mère est dépouillée de ses biens, a transmis à la police judiciaire des enregistrements pirates de conversations entre l’héritière de L’Oréal et ses principaux conseillers. Ces documents audio, dont Mediapart a pris connaissance, révèlent diverses opérations financières destinées à échapper au fisc, des relations avec le ministre Eric Woerth et son épouse, ainsi que les immixtions de l’Elysée dans la procédure judiciaire. Il faut savoir que la fille accuse la mère ou plutôt accuse un photographe d’avoir dépouillé la mère de près d’un milliard d’euros. Or madame Woerth est la gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt. Il y a là peut-être danger pour elle. Sans compter que dans cet article du Post on liste le nombre inimaginable de sociétés dans des paradis fiscaux appartenant à cette même fortunée dame conseillée pour ce faire par la femme de l’ex-ministre du budget, responsable de la lutte contre la fraude fiscale.

En conclusion, on retrouve souvent les mêmes : MAM, Pérol, Woerth, Morin et bien évidemment Nicolas Sarkozy. Dans n’importe quel pays démocratique cette invraisemblable accumulation de petits et gigantesques scandales aurait déclenché une explosion du pouvoir.
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Arnaud BASSEZ
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Message par Arnaud BASSEZ » mer. juin 16, 2010 7:37 pm

Pour faire suite au message du dessus
Pourquoi la mettre ici ?
Parce que je suis pour la liberté d'expression.
Parce qu'elle risque de disparaitre insensiblement...mais surement.
parce que je fais ce que je veux, car je suis un dictateur sur ce site !! :D
A chacun de se faire son idée.

Voici une lettre ouverte du Dr SADEK Christian
______________________________________
Date: Jeudi 25 mars 2010, 20h36

Docteur Christian SADEK
Médecin généraliste
Les Prades
46250 CAZALS


Monsieur Nicolas SARKOZY
Président de la République Française
Cazals, le 08 Mars 2010

Monsieur le Président de la République
Avec tout le respect que je vous dois dû à votre fonction, je me permets de vous adresser ce petit présent : un croc de boucher. Ce n’est pas pour y suspendre Monsieur Dominique de VILLEPIN et n’a rien à voir avec les balles de 9mm qui vous ont été adressées anonymement.
Moi, je vous dis qui je suis, et pourquoi je vous adresse cet objet.
En temps que médecin de campagne, je suis tous les jours au contact de la France « d’en bas », des agriculteurs, des artisans, des professions libérales, des commerçants, des employés salariés qui doivent travailler toujours plus pour en fait gagner de moins en moins.
Je côtoie aussi des personnes au R.S.A. qui travaillent au noir, arrivent à toucher de nombreuses allocations diverses et variées et qui en fait ne payent pas d’impôts et s’en sortent
beaucoup mieux que ceux qui sont au SMIC, et qui travaillent 7 H / jour, et bien mieux que de nos agriculteurs qui eux travaillent plus de 60 H/ semaine et 365 jours par an et qui parfois sont obligés de fréquenter les Restos du Coeur pour nourrir leurs enfants.
Et que dire de nos retraités qui ont de plus en plus de mal à joindre les deux bouts.
Tous les jours, je mesure la température de la population de notre canton et, je ne sais si c’est une conséquence du prétendu réchauffement climatique, mais la température monte, monte lentement mais sûrement et un jour cela va éclater…
Je pense que c’est comme le « big one » sur la faille de San Andréa : on sait que cela va arriver mais on ne connaît pas la date.
C’est ce que je perçois sur le canton de Cazals et aussi ce que je pressens dans les autres cantons de France.
Il serait dommage que notre Pays qui est au bord de la faillite, faillite en grande partie liée à l’incompétence et à la corruption de nos énarques, soit victime d’une troisième révolution qui achèverait de le ruiner.
Comme en 1789, la Révolution pourrait éclater pour une parole de trop : en 1789 ce serait Marie-Antoinette qui l’aurait prononcée « Ils n’ont plus de pain alors qu’ils mangent de la brioche ».
L’ENA n’existait pas mais déjà nous avions déjà une énarque qui ignorait comment se faisait le pain et la brioche : aucune réalité de la condition de vie des gens sur le terrain.
C’est peut être pour éviter cela que nos énarques et hommes politiques font de longs discours qui nous endorment et ne veulent plus rien dire : au moins cela évite de mettre le feux aux poudres et ils se sont fait plaisir en alignant des mots mais aucune idée.

Nous sommes en présence d’un Etat qui devient de plus en plus inquisiteur envers ses citoyens, de plus en plus répresseur envers les honnêtes gens, de plus en plus laxiste pour les voyous : auriez-vous peur des voyous Monsieur le Président ?

Pourtant ce sont les honnêtes gens qui feront la prochaine révolution parce qu’ils en ont assez que 1789 ne serve à rien et qu’ils ne soient bons qu’à payer des impôts.

Je pense, en tant que médecin, que la révolution c’est comme le vaccin : de temps en temps il faut des rappels.
Il y a trop longtemps maintenant que le dernier rappel a été administré.
Après le dépistage des délinquants à l’âge de 3 ans, la taxe carbone qui épargne les plus pollueurs (vos petits copains), les radars « pompes » à fric, qu’allez vous nous pondre : le
rétablissement des lettres de cachet ? Pourvu que je n’en sois pas la première victime !
Vous êtes en train de nous faire une France à l’Américaine. Mais pas celle d’Obama ! Celle de Bush, marionnette de la C.I.A., des lobbies de l’industrie et de l’armement. Votre idole
était G.W. Bush : cela « crevait » les yeux.
L’Europe géographique avait un pays à la botte des américains (l’Angleterre), maintenant elle en a deux.
Lors de l’invasion en Irak, par les américains, je devrais dire par la C.I.A. et les industriels de l’armement et accessoirement G.W. Bush, Jacques CHIRAC a eu probablement la meilleure initiative de ses mandats : ne pas y aller.
S’il n’en avait pas été ainsi, je pense que notre pays,
qui compte 1/6 de musulmans explosait de l’intérieur. En médecine il y a un dicton qui dit « primum no nocere » - d’abord ne pas nuire- et il a su l’appliquer.

Vous êtes, lentement mais sûrement, en train de transformer le pays en dictature car vous avez l’esprit d’un petit dictateur ; il existe une grande similitude entre vous et Napoléon III dit Le Petit (dixit Victor Hugo).
Mis à part quelques ministres, vous vous êtes entouré (mais cela est peut être voulu) d’incompétents notoires qui n’ont aucune réalité du terrain, comme par exemple Madame R.
Bachelot qui nous a montré ses talents dans la gestion de la « grosse » épidémie de grippe A.
Heureusement que le virus H1 N1, quant à sa virulence, n’avait rien à voir avec le H5 N1, auquel cas elle aurait participé à décimer le pays : elle aurait peut être résolu le problème de chômage en créant un maximum d’emplois…..dans les funérariums.
Il y a un proverbe qui dit « au royaume des aveugles, les borgnes sont rois » : je crains que vous l’ayez fait vôtre.
Mais au fait, cette épidémie de grippe, n’était-ce pas une diversion, pour faire parler d’autre chose que de la crise ce qui aurait risqué d’échauffer les esprits ?
En vous adressant ce présent, je ne fais pas de menaces, je m’inspire un peu de vous - après tout c’est vous qui en avez parlé le premier, du croc de boucher - Je fais seulement de la
prévention.
Il serait en effet regrettable que votre absence de bon sens, votre éloignement de plus en plus grand de la France « d’en bas », comme avait dit Jean Pierre Raffarin, vous conduise à vous y trouvé suspendu par le peuple, ou pire encore, que la Guillotine, reléguée au musée par Robert Badinter, reprenne du service et fonctionne au rythme qu’elle a connu sous la Terreur.
Je vous rappelle que vous êtes le Président de tous les Français même si tous n’ont pas voté pour vous et que vous avez été choisi pour vous occuper de notre Pays, pas pour l’anéantir.
Je suis un libéral, mais je suis pour le libéralisme choisi et non subi et imposé. Vous êtes en train de créer un système de santé à l’américaine, c’est-à-dire à deux voire trois vitesses, alors que Monsieur Obama lui veut faire machine arrière et rendre l’accès aux soins à tous les Américains qui en étaient exclus.
Vous êtes en train d’anéantir l’enseignement qui est le type même d’investissement à long terme où l’on dépense aujourd’hui de l’argent (nos impôts) qui sert à former les cerveaux qui feront l’élite intellectuelle de demain.
Les pays nordiques comme la Finlande l’ont bien compris.
Avec la suppression du juge d’instruction, vous êtes en train de créer une justice aux ordres du pouvoir : la France va devenir une République Bananière si elle ne l’est pas déjà.
A l’allure où vous allez, la France sera le premier pays sous développé d’Europe : plus d’université, plus d’hôpitaux, plus d’industries, plus de services publics, plus d’agriculture…… une réserve de gaulois pour touristes étrangers tout au plus.
Attention ! Les Gaulois à l’image d’Astérix et Obélix pourraient bien entrer en Résistance …..
Lettre ouverte à Nicolas Sarkozy

La révolte gronde dans le lot !!!
lire aussi le bas de ce message !

Dans 15 jours j'adresse cette lettre à N. Sarkozy accompagnée de son "cadeau" le crochet de boucher. diffusez la à un maximum de vos contacts, qu'elle fasse le tour du pays. Si un maximum de gens sont informés je ne risque rien.
Je compte sur vous et .......... Vive la liberté d'expression
Docteur Christian SADEK
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Message par Christophe Leroy » jeu. juin 17, 2010 7:18 am

Parce que nous sommes encore en démocratie....?

Mise à part le droit de vote (et encore, le mode de scrutin est bidouillé continuellement...), je ne vois pas trop!
Les temps actuels me font penser au règne du (petit) roi soleil et à sa cour......En poussant un peu, j'irai jusqu'à me dire que nous sommes revenus au moyen age par certains aspects!

Mais ça n'engage que moi...non,non dictateur du site, n'enlève pas ma haute pensée philosophique! (aujourd'hui bac de philo!)
:lol:
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Message par Arnaud BASSEZ » jeu. juin 17, 2010 8:36 am

les sujets de philosophie 2010,

Filière scientifique :
Sujet 1 : L'art peut il se passer de règles ?
Sujet 2 : Dépend-il de nous d'être heureux ?
Commentaire : Extrait de Léviathan, de Hobbes

Filière économique et sociale :
Sujet 1 : Une vérité scientifique peut-elle être dangereuse ?
Sujet 2 : Le rôle de l'historien est-il de juger ?
Commentaire : Extrait de L'Education morale, de Durkheim

Filière L :
Sujet 1 : La recherche de la vérité peut elle être désintéressée ?
Sujet 2 : Faut il oublier le passé pour se donner un avenir ?
Commentaire : Extrait de Somme théologique, de Thomas d'Aquin

Je pense que notre situation est celle-ci : Sujet 2 : Faut il oublier le passé pour se donner un avenir ?
vous avez trois mois...
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