Cotisation ONI = 75€/an

Arnaud BASSEZ
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Message par Arnaud BASSEZ » mar. avr. 28, 2009 6:47 pm

Le conseil départemental de l'ordre des infirmiers des Ardennes réuni le 16 avril 2009 en séance plénière prend acte du montant de la cotisation fixée à 75 euros par le conseil national.
Le montant de cette cotisation, malgré l'enfumage graphique réalisé à l'occasion de la réunion des présidents du 1er avril est à l'unanimité du conseil départemental des Ardennes abusif et disproportionné.
Le conseil national doit prendre en compte la réalité du pouvoir d'achat des infirmières et infirmiers dans un contexte de crise.
Le budget prévu doit faire preuve de beaucoup plus d'humilité, à l'image de notre profession.
Une cotisation à l'ordre de 75 euros nous semble injustifiable et sera très mal acceptée par nos collègues. L'idée d'une démission collective des membres du CDOI 08 a été évoquée au vu de l'engagement éthique qui a motivé nos candidatures.

En conséquence, nous demandons au conseil national de revoir ses prétentions de fonctionnement et de fixer une cotisation maximale de 30 euros.

LA PRESIDENTE ET LES MEMBRES TITULAIRES ET SUPPLEANTS DU CDOI 08 PRESENTS A LA REUNION DU 16 AVRIL
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Message par cedr1c » mer. avr. 29, 2009 8:41 am

L'enfumage graphique, je me demande vraiment ce qu'il y a derrière ce terme.
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Message par yves benisty » mer. avr. 29, 2009 9:48 am

Le conseil départemental de l'ordre des infirmiers des Ardennes a écrit :Le conseil national doit prendre en compte la réalité du pouvoir d'achat des infirmières et infirmiers dans un contexte de crise.
Je suis bien d'accord. Et c'est dans ce sens que je perçois tout l'intérêt d'un organisme qui va fédérer de fait plus de 400 000 personnes. Imaginons la puissance d'un tel groupe, son poids dans de réelles négociations quant à la reconnaissance de la profession et son rôle dans les décisions de santé.

Puisqu'on parle de la loi hpst, j'observe avec amusement le différent directeur-médecins. D'une certaine façon, nous venons de nous faire rouler dans la farine (encore merci les syndicats...), puisque les médecins ont réussit à mettre dans la rue des personnes pour les défendre. C'est ce qui ressort pour le profane qui regarde la télévision : une manifestation avec à sa tête l'appel des 25, suivit par 20 000 personnes de l'hôpital.

Pouvons-nous imaginer un autre rôle pour les ide ? Plutôt que de savoir qui des directeurs ou des CME doit diriger l'hôpital, ne pouvons-nous pas demander à participer aux prises de décision concernant notre santé et notre travail ?
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Message par Arnaud BASSEZ » mer. avr. 29, 2009 4:26 pm

Là dessus je suis parfaitement d'accord. Les IDE ont des raisons bien différentes de défiler.
Elles protestent contre la "privatisation" de l'hôpital public alors que les médecins eux protestent parce qu'ils sont écartés du pouvoir qu'ils ont toujours eu et qu'ils n'envisagent pas de perdre.
Là encore, le pouvoir médical se sert de la masse des soignants pour récupérer des chiffres différents selon les syndicats ou la préfecture, mais qui sont passés à la télé avec plus ou moins de bonheur selon la profession envisagée et où j'ai pu voir une infirmière interviewée qui disait " C'est lamentable, je suis contre les fermetures de postes et je trouve ça lamentable de fermer des postes ."

Mais quand la caste médicale aura récupéré son os, nous ne l'intéresseront plus.
Comme depuis le début. Pour autant je ne suis pas sûr que l'ONI apporte du pouvoir dans les hôpitaux pour les IDE dans leur ensemble. Il faudrait pour cela amender les lois.
Et quant on sait le nombre de médecins qui siègent sur les bancs du palais de l'Assemblée nationale...

Rappelons une donnée essentielle : la santé n'a pas de prix mais elle a un coût, et il est licite de rendre des comptes d'un organisme public qui ne doit pas être financé à perte.
Une gestion saine doit être entreprise. Le gâchis n'est plus possible.
Mais dans les règles qui n'entravent pas la qualité globale.
Pour autant est-il normal qu'un chef de pôle puisse se récupérer 15 % des économies réalisées dans son pôle comme prime à l'intéressement ...?

N'y a t-il pas là non plus une dichotomie ?
Pourquoi le personnel, acteur de cette économie n'en toucherait pas les dividendes ?
Ne serait-ce pas là aussi, un moteur à la motivation ?
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Message par Arnaud BASSEZ » jeu. avr. 30, 2009 10:44 am

Éric DELMAS a écrit : Je suis même prêt à doubler ma première cotisation si l'on m'assure que le surplus sera entièrement consacré à la lutte contre les fraudeurs.
Quand tu lis http://www.alize-kine.fr/Divers/craudience28042009.pdf (page 2)
tu te demandes tout de même s'il n'y a pas du foutage de gueule ?!

Les cadres seraient exonérés de cotisation parce qu'ils n'exerceraient plus la profession ! C'est la Loi !

Moralité, ce sont les dirigeants de l'ONI, cadres pour la plupart, qui vont exiger le recouvrement d'une somme dont ils sont eux mêmes exonérés !

Facile dans ces conditions de dépenser l'argent des autres.
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Message par Éric DELMAS » jeu. avr. 30, 2009 12:23 pm

À première vue cela semble concerner les cadres sup et les directeurs de soins. Car, un cadre de santé infirmier ou spécialisé qui encadre des soignants infirmiers ou spécialisés ne peut échapper à ce critère.
La loi dit : «Art. L. 4312-1. - Il est institué un ordre national des infirmiers groupant obligatoirement tous les infirmiers habilités à exercer leur profession en France, à l’exception de ceux régis par le statut général des militaires. »
Il ne s'agit donc pas de savoir si les gens concernés exercent leur profession mais s'ils sont susceptibles de l'exercer. Donc, un cadre de proximité est susceptible d'assister son personnel en donnant des soins aux patients, ce qui le met sous le coup de la loi. Mais je ne suis pas juriste et je n'aurai jamais à juger ce cas.
Pour les dirigeants de l'OIF le problème ne se pose pas puisqu'il faut être membre pour être élu. Donc, s'il ne cotise pas, il ne peut être élu et encore moins siéger.
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Message par Arnaud BASSEZ » jeu. avr. 30, 2009 1:11 pm

Tu as vu beaucoup des cadres de proximité qui font des soins et qui aident leur équipe ?
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Message par yves benisty » jeu. avr. 30, 2009 2:55 pm

arnaud BASSEZ a écrit :Tu as vu beaucoup des cadres de proximité qui font des soins et qui aident leur équipe ?
J'en ai vu. Pas beaucoup, pas souvent, mais j'en ai vu. Par ailleurs, peut-on toujours reprocher à un cadre de ne pas faire de soins ? S'il accepte de remplacer ses ide/iade, il aura moins de temps pour faire son boulot de cadre. Et surtout, c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres, on pourra demander aux ide de remplacer tout le monde, as, ash...

La question n'est pas de savoir combien il y en a, mais selon les termes de la loi, s'ils sont habilités à exercer.
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Message par Arnaud BASSEZ » jeu. avr. 30, 2009 5:11 pm

Quant on est IADE on est IDE avant tout parait-il.
Donc si on est cadre sup on est IDE avant tout aussi non ?
Car en quoi un certificat me donnerait la possibilité de m'affranchir d'une base qu'un DE ne pourrait pas ? Au principe que je n'exerce plus auprès du patient ?
Quid du terreau commun revendiqué par les tenants de l'ordre ?

Ne pas reconnaitre les cadres sup (ou pas pour l'instant, nous supposons) comme soignants et donc les exonérant de toute cotisation, ne semble pas logique.
Si les cadres siégeant à l'ONI cotisent, est-ce logique qu'en France, d'autres cadres, ne siégeant pas, puissent être libres de toute cotisation alors que nous, serions considérés comme "fraudeurs" et dans l'exercice le plus illégal malgré la validation de notre capacité professionnelle par l'obtention d'un ou deux diplômes d'État ?
On irait vers un Ordre à deux vitesses pour les cadres.
paradoxe pour un organisme visant à unir et réunir les gens de la profession.
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Message par yves benisty » jeu. avr. 30, 2009 5:17 pm

arnaud BASSEZ a écrit :Ne pas reconnaitre les cadres sup (ou pas pour l'instant, nous supposons) comme soignants et donc les exonérant de toute cotisation, ne semble pas logique.
Mais je suis tout à fait d'accord. Dans un esprit d'unité, je pense qu'il faut que tout le monde cotise.
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Message par Arnaud BASSEZ » jeu. avr. 30, 2009 5:26 pm

J'ai bien peur que cela ne soit qu'un vœu pieu. Car s'il y a une faille dans la Loi, d'après le procureur de la République du TGI de Toulouse, je pense que certains, beaucoup, vont s'engouffrer dedans.
Et ceux en toute légalité.
Ils auraient tort de se priver. C'est légal.

question : Est-ce que les catégories A sont concernées dans leur ensemble ?
Car reconnaitre cette possibilité à l'un et pas l'autre, alors que les deux sont dans la même catégorie, ça va commencer à être un peu le désordre (sans jeu de mot, promis).
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Message par Éric DELMAS » jeu. avr. 30, 2009 7:04 pm

Je suis également pour un œcuménisme représentatif.
PAr contre les opposants à l'OIF vont hurler de joie car qui ne cotise pas ne peut voter. D'un coup, d'un seul voilà les vilains cadres tant vilipendés mis au ban de l'OIF. Je sens que les syndicats vont virer à 180° pour réinvestir un organisme enfin aux mains de la profession suant sous le burnous.
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Message par cedr1c » sam. mai 02, 2009 1:37 pm

Le seul qui amorce son virage (enfin, deux de suite à 180°, c'est juste revenir au point de départ, en étant juste un peu plus abasourdi), c'est la CNI pour l'instant; après pleurer le prix de la cotisation, certains élus départementaux communiquent "enfin, c'est pas si grave" sur leur site de section.

L'ordre est de toutes façons rempli de brèches, de non dit, de malentendus.
Si tout ce qui est annoncé se concrétise, on va avoir des cadres non obligés de s'affilier (mais élus...), des libérales qui cotisent deux fois (comme chez les sages femmes, une fois pour la société, une fois pour elles)...une belle unité de la profession.

Finalement, Eric, on peut aussi tout simplement suivre les bonnes paroles de la présidente, et se débarrasser de cet ordre.
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Message par Arnaud BASSEZ » sam. mai 02, 2009 2:45 pm

Suite aux critiques émises au sujet de la cotisation annuelle à l’ordre des infirmiers à 75 euros, la présidente de l’ordre s’adresse à tous ses consœurs et confrères pour leur donner des explications.

Mesdames, Messieurs les Présidents des conseils départementaux et régionaux de l’ordre des Infirmiers, chères Consœurs, chers confrères

J’ai bien conscience qu’une explication s’impose, quant à la cotisation ordinale votée par le CNOI (conseil national de l’ordre des infirmiers) le 3 avril dernier : 75 euros pour l’année. 6,25 euros par mois…

Certes, elle est bien inférieure à toutes les cotisations demandées par les ordres, les syndicats, voire les associations professionnelles, en France. C’est aussi l’un des montants le plus bas des cotisations ordinales infirmières en Europe. Néanmoins, il pourra encore surprendre certains. Pourquoi ? C’est que, depuis plus d’un an, certains ont prêché auprès des infirmiers l’illusion d’une cotisation dérisoire.

Les uns trahissaient ainsi l’idée qu’ils se font de nous : une infirmière à 30 euros, c’est vendable… et ça ne vaut pas plus.

Les autres faisaient un calcul stratégique : moins l’Ordre pourra fonctionner, moins il pourra trouver sa place dans le paysage. Donc, il fallait nous refuser les moyens de conduire, sur nos enjeux professionnels majeurs, les grands chantiers qui s’imposent :

définir nos règles déontologiques, les faire vivre et les faire respecter. Par les infirmiers, bien sûr, mais aussi par nos employeurs et par les autres professionnels de santé. Pour apporter à tout infirmier des repères sûrs, lui permettant d’exercer dans le respect de ses valeurs, de la sécurité et de la qualité des soins que nous jugeons nécessaires pour nos patients. A cet égard, un certain nombre de difficultés sont déjà remontées au Conseil national, sur des problèmes de subordination professionnelle indue, médecins/infirmiers, ou employeurs/infirmiers ;

enrichir notre décret de compétences, afin d’accompagner au plus près l’évolution de notre exercice ─ tel que nous le vivons, et non pas selon ce que pensent pour nous des bureaux de la DHOS, l’Académie de médecine et d’autres encore, si peu experts des réalités de nos pratiques au quotidien ;

obtenir l’intégration des infirmières à l’université et le LMD, pour une ouverture sur les pratiques avancées que nous voulons mettre à l’ordre du jour dans les plus brefs délais ;

influencer à temps (directement à Bruxelles) les futures décisions européennes qui auront des conséquences déterminantes sur notre profession ;

informer les infirmiers de manière directe et précise sur ces grands enjeux qui les attendent concernant l’avenir de leur profession. Les conseiller au jour le jour dans leurs difficultés d'exercice.

Les infirmiers qui, eux, attendaient de bonne foi une cotisation symbolique ne se représentaient pas les obligations et contraintes qui pèsent sur une institution comme celle-ci. Ayant fait un calcul sommaire, et dans un cadre essentiellement local, ils semblaient rassurés par un montant global représentant une somme que nous ne sommes pas habitués à traiter nous mêmes.

Je peux facilement comprendre cette méconnaissance.

J’ai mieux saisi moi-même, dans les semaines qui ont suivi mon élection, le nombre considérable d’affaires à résoudre (politiques, juridiques, humaines, pratiques), ainsi que l’ensemble des champs que nous allons devoir gérer.

J’ai pu mesurer les obligations minimales d’investissement et de fonctionnement qu'exigent, à la fois, nos missions légales et notre promotion collective : construction et maintenance du plus grand tableau ordinal français, gestion de nos juridictions professionnelles, éditions et envois divers (caducées, cartes professionnelles, mailings…). Expertises et avis argumentés pour le Ministère, la Commission européenne, la HAS… Formation de vos élus à leurs tâches. Communication interne et externe de la profession, etc.

Avec la meilleure bonne volonté et toute notre énergie – nous n'en manquons pas – l’amateurisme et le bricolage ne peuvent suffire. Nous avons besoin impérativement d’un certains nombre de professionnels qualifiés à notre service : informaticiens, juristes, professionnels de la communication, gestionnaires compétents, prestataires spécialisés. De technologies modernes, qui seront source, ensuite, d’efficacité et d’économies. De locaux pour nous réunir, vous recevoir et travailler. Pour vous assurer les services que vous êtes en droit d’attendre. Enfin, pour que nous puissions, collectivement, occuper enfin la place qui peut et doit être la nôtre, dans le système de santé et au delà. Et cela sans attendre.

Pourquoi, dira-t-on peut-être, prendre tout cela à notre compte, donc à notre charge ? Pourquoi ne pas laisser l’Etat ou des représentations fragmentées faire (ou ne pas faire…) à notre place ? Oui, c’est un choix. Un choix historique : accéder à l’âge de notre majorité. Gagner le privilège de nous gouverner nous-mêmes. En assumer la responsabilité, pour saisir les chances qui n’existeront pas sans elle.

La cotisation ordinale sera notre seule ressource ; elle permettra notre indépendance et notre crédibilité. Nous ne pouvions l’envisager déconnectée de toute réalité pratique. Un cabinet de consultants spécialistes, la société Ernst et Young, nous a aidés à la fixer avec rigueur, selon ce principe : rien que l’indispensable, car les temps sont difficiles ; mais tout l’indispensable, pour l’efficience et la crédibilité que nous vous devons.

Votre Ordre national se veut l’Assurance Qualité de la profession, et son Plan Avenir : il n’aurait, autrement, pas de raison d’être. Sans hésiter, nous avons résolu, en votre nom à tous, d’y investir ensemble le juste prix.

Tel est l’esprit, et sera toujours l’esprit de mon mandat pour la profession.

Dominique LE BŒUF
Présidente
Conseil National de l’Ordre des infirmiers
116 rue de la Convention
75015 PARIS
Mail : ordre-infirmier.national@orange.fr.

Source :
Ordre infirmier de la Charente
http://ordreinfirmier16.canalblog.com/a ... 71920.html
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Message par cedr1c » sam. mai 02, 2009 4:13 pm

obtenir l’intégration des infirmières à l’université et le LMD
Heureusement que l'ordre est là...et c'est vrai qu'il a été attendu pour les négociations...ce qu'il ne faut pas lire.

Pour le reste, impossible pour l'instant de savoir si la commission a déjà validé cette cotisation.
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