Rapport relatif aux métiers en santé de niveau intermédiaire
Posté : sam. févr. 05, 2011 4:04 pm
Voilà encore un rapport qui traite de l'évolution nécessaires des métiers de la santé
http://www.laurenthenart.com/fichiers_a ... hier_1.pdf
Extrait (pages 47):
La mission a déjà relevé que, dans le cadre de la réforme LMD appliquée aux professions paramédicales, les études d’infirmier sont désormais reconnues au niveau licence. Progressivement, ce sont l’ensemble des professions paramédicales dont les études durent trois ans minimum après le bac qui seront rénovées et qui ont vocation à entrer dans le modèle LMD. S’il semble nécessaire que certains professionnels paramédicaux accèdent à un niveau universitaire plus élevé que la licence, il ne paraît pas justifié d’élever systématiquement l’ensemble des diplômes actuels au niveau du master.
La problématique des spécialisations infirmières (puériculture, bloc opératoire et anesthésie) constitue un exemple pertinent. Ces spécialisations impliquent, par rapport au métier d’infirmier, un niveau supérieur de compétences, de technicité, de qualification et un champ d’exercice particulier. Elles constituent des métiers distincts de celui d’infirmier et il serait logique que leur diplôme soit reconnu à un niveau supérieur à la licence ; toutefois, elles ne représentent pas, dans leur dimension actuelle de formation, de qualification et d’exercice, une nouvelle profession de santé de niveau intermédiaire au sens où l’entendra la mission (cf. infra). Mais bien entendu, elles pourraient le devenir avec l’intégration de pratiques avancées dans le domaine.
Encore une fois, nous a-t'on demandé notre avis
http://www.laurenthenart.com/fichiers_a ... hier_1.pdf
Extrait (pages 47):
La mission a déjà relevé que, dans le cadre de la réforme LMD appliquée aux professions paramédicales, les études d’infirmier sont désormais reconnues au niveau licence. Progressivement, ce sont l’ensemble des professions paramédicales dont les études durent trois ans minimum après le bac qui seront rénovées et qui ont vocation à entrer dans le modèle LMD. S’il semble nécessaire que certains professionnels paramédicaux accèdent à un niveau universitaire plus élevé que la licence, il ne paraît pas justifié d’élever systématiquement l’ensemble des diplômes actuels au niveau du master.
La problématique des spécialisations infirmières (puériculture, bloc opératoire et anesthésie) constitue un exemple pertinent. Ces spécialisations impliquent, par rapport au métier d’infirmier, un niveau supérieur de compétences, de technicité, de qualification et un champ d’exercice particulier. Elles constituent des métiers distincts de celui d’infirmier et il serait logique que leur diplôme soit reconnu à un niveau supérieur à la licence ; toutefois, elles ne représentent pas, dans leur dimension actuelle de formation, de qualification et d’exercice, une nouvelle profession de santé de niveau intermédiaire au sens où l’entendra la mission (cf. infra). Mais bien entendu, elles pourraient le devenir avec l’intégration de pratiques avancées dans le domaine.
Encore une fois, nous a-t'on demandé notre avis