LMD, dernière ligne droite ?

Arnaud BASSEZ
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Message par Arnaud BASSEZ » mer. févr. 03, 2010 9:16 pm

ton lien sur le forum agrume, montre encore des IADE qui ne savent pas l'historique des manifs de 2001 et qui ne considèrent que le début de leur carrière, en omettant qu'ils vont vite passer en catégorie supérieure...

Eric l'avait démontré il y a quelques temps...
cela confirme bien le peu de connaissances professionnelles qu'ont les IADE sur eux mêmes;
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Gaetan CLEMENCEAU
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Message par Gaetan CLEMENCEAU » mer. févr. 03, 2010 9:35 pm

Je suis bien d'accord avec toi, Arnaud.

Cela confirme bien le manque de connaissance de l'histoire et des acquis de la profession d'IADE de beaucoup de nos collègues et confrères spécialisés (pour ceux qui sont inscrits et cotisent).
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Message par Gaetan CLEMENCEAU » dim. févr. 07, 2010 7:12 pm

Réforme statutaire dans la FPH
Seul le SNCH signe le protocole d'accord dans son intégralité
03.02.10 - 17:50 - HOSPIMEDIA
Le protocole relatif à la réforme LMD a été mardi soir, partiellement signé par la majorité des organisations syndicales. Seul le SNCH adhère au dispositif dans son intégralité. Les autres refusent de lier la revalorisation statutaire des infirmières à un départ à la retraite plus tardif.
Pour illustrer la signature du protocole d'accord relatif à la réforme LMD, l'image du verre à moitié vide ou à moitié plein est parfaite. Sur les huit syndicats de la Fonction publique hospitalière (FPH) à la table des négociations, trois (les fédérations santé CGT, Sud et CFDT) ont refusé l'invitation à signer le pacte mardi soir au ministère de la Santé. Seul, le Syndicat national des cadres hospitaliers (SNCH) a parafé le texte dans son intégralité. Les quatre autres organisations (les fédération santé CFTC, FFASS CFE-CGC, FO, UNSA) ont pour leur part rejeté trois des six volets apportant ainsi leur caution à seulement la moitié des dispositions présentées.
Un protocole à la carte
En scindant sa proposition en plusieurs parties, le ministère de la Santé a en quelque sorte encouragé cette attitude. Si la méthode peut surprendre, elle est pourtant couramment utilisée dans la fonction publique pour arriver au consensus syndical sur les sujets les plus difficiles, a souligné à Hospimedia, Françoise Kalb, présidente de la fédération UNSA santé-sociaux, à la sortie de la séance des signatures. "Les accords de Bercy ont connu le même sort", a-t-elle ajouté. Il semblerait toutefois que ce soit le premier protocole dans la FPH proposé sous cette forme. Ce qui fait également dire à la CFDT (non signataire) que "cette stratégie permet aux partenaires un engagement partiel dont il est très difficile d'identifier le sens entre partiellement favorable et partiellement défavorable", écrit-elle dans un communiqué.
Pour le SNCH, la question ne se pose pas, il a en effet cautionné l'ensemble des volets que ce soit les dispositions relatives à l'intégration dans la catégorie A de la FPH des infirmiers et des professions paramédicales (volets 1, 2, 3) ou bien celles concernant l'intégration des corps de catégorie B de la FPH dans le nouvel espace statutaire (volet 4), l'amélioration des conditions de travail des paramédicaux (volet 5) ou les spécialisations et l'accès aux masters et aux doctorats (volets 6). Le syndicat des cadres salue dans un communiqué les avancées annoncées. Il les passe d'ailleurs en revue. Ainsi commentant le dispositif d'intégration dans la catégorie A des infirmiers et par la suite des professions paramédicales aux diplômes de type LMD, il rappelle qu'avec ce nouveau texte "les cadres et cadres supérieurs de santé obtiennent des grilles majorées et dissociées des professionnels qu'ils encadrent. Ils accèdent à un système de prime différent des agents, fondé sur leurs responsabilités et leurs résultats, comme pour les directeurs. Ils reçoivent une indemnité quand ils sont tuteurs de stage. Ceux qui bénéficient du droit d'option conservent l'accès à la retraite à 55 ans".
Forte opposition sur les retraites
Sur ces sujets, l'avis des autres syndicats se heurte sans exception à la problématique des retraites.
Tous ont refusé la disparition inscrite dans le protocole de la catégorie active (droit à la retraite à 55 ans) contre des revalorisations salariales totalement insuffisantes, rappelle SUD santé dans un communiqué. Après avoir refusé de signer les trois premiers volets du protocole, Didier Bernus, secrétaire général de la branche FO des services de santé, interrogé par Hospimedia, déclare rester "dubitatif", s'étonnant de la remise en cause du départ à la retraite à 55 ans des infirmières "quinze jours avant que le président de la République n'annonce l'agenda social et le début des concertations relatives aux retraites". La problématique des retraites n'a donc pas sa place dans un protocole de revalorisation statutaire, ajoute-t-il. Une opinion qu'il partage avec six autres organisations. De son côté, le Syndicat national des professions infirmières (SNPI) CFE-CGC qui a appelé les infirmières à signer une pétition contre cette réforme statutaire, a recueilli fin janvier 6 234 signatures.
Un accord à demi-mot
Quoi qu'il en soit la position de Roselyne Bachelot semble prise. Alors que le texte n'était pas encore signé, elle a annoncé en introduction de la séance, que dès cette année les infirmières pourront faire le choix de prolonger leur carrière. La réforme portant revalorisation en catégorie A devrait s'étaler sur cinq ans. En 2015, les premiers bénéficiaires de cette disposition verront leurs salaires majorés de 2000 euros net par an.
Quant à la question de la remise en cause d'un protocole signé par une minorité d'organisations, elle n'est pas pour l'instant d'actualité. En effet, les accords de Bercy relatifs à la rénovation du dialogue social dans la fonction publique n'ont pas pour l'instant été suivis de la publication d'un texte réglementaire (du type loi) s'appliquant à la FPH, confirment à Hospimedia plusieurs sources syndicales. Les accords de Bercy introduisent en effet le concept d'accord majoritaire en voix* qui ne peut donc pas être revendiqué dans la FPH.
Le désaccord syndical sur la première partie du protocole ne doit pas pour autant faire oublier les trois derniers volets de l'accord qui ont remporté la majorité des signatures (soit cinq : FO, UNSA, SNCH, CFTC et FFASS CFE-CGC). Le consensus syndical n'a pas porté sur des mesures mineures, soutient Françoise Kalb. Ces textes concernent notamment le reclassement des personnels administratifs, techniques, ouvriers et socio-éducatifs de catégorie B dans le nouvel espace statutaire, mais aussi les nouveaux contrats locaux d'amélioration des conditions de travail à partir de cette année ou encore la formation. Mais il est vrai que la revalorisation des infirmières en catégorie A et le prolongement des carrières a et risque encore à l'avenir de focaliser les débats.
Lydie Watremetz
*Dans le relevé de conclusion des accords de Bercy, il est inscrit qu'un "accord pourra n’être considéré comme valable que, d’une part, s’il est conclu avec au moins deux organisations syndicales représentant au moins 20% des voix au niveau où l’accord est négocié et, d’autre part, s’il ne rencontre pas l’opposition d’organisations syndicales représentant une majorité des voix. En ce cas, l’administration s’oblige à prendre les mesures nécessaires à la mise en œuvre d’un tel accord".
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Message par Gaetan CLEMENCEAU » ven. févr. 12, 2010 1:38 pm

Statut des infirmiers : la quasi-totalité des syndicats boycottent le conseil supérieur de la fonction publique hospitalière
Les organisations syndicales CGT, CFDT, FO, SUD, Unsa, CFTC et la CFE-CGC ont décidé de boycotter le conseil supérieur de la fonction publique hospitalière (CSFPH) convoqué "en urgence" vendredi pour émettre un avis sur le texte modifiant le statut des infirmiers dans le cadre de la réforme LMD (licence-master-doctorat), annoncent-elles dans un communiqué jeudi.

Les organisations syndicales, réunies en intersyndicale, qualifient de "provocation" la décision du gouvernement d'utiliser, selon eux, le projet de loi portant rénovation du dialogue social pour introduire les modifications législatives faisant passer le droit de départ à la retraite des infirmiers et des personnels paramédicaux de 55 ans à 60 ans, à la suite du protocole d'accord permettant leur passage en catégorie A.

Ce protocole d'accord a en effet été accepté a minima par les organisations syndicales puisque seul le Syndicat national des cadres hospitaliers (SNCH) a signé l'intégralité de ses six volets, tandis que FO, l'Unsa, la CFTC et la CFE-CGC ont rejeté trois de ses volets (ils ont signé les trois autres) et que la CFDT, SUD et la CGT l'ont rejeté en bloc.

Ce projet de loi portant rénovation du dialogue social dans la fonction publique, qui est passé en conseil des ministres le 1er avril 2009, sera discuté en première lecture à l'Assemblée nationale dans la semaine du 28 mars, a-t-on appris auprès de l'Assemblée.

Les organisations syndicales siégeant au CSFPH s'étonnent également de "la rapidité et du passage en force de ces textes alors qu'[elles attendent] depuis plusieurs séances de siéger sur le décret 'frais de transport'". "Les choix sont clairs en terme de priorité", dénoncent-ils dans leur communiqué.

"Le comble, et c'est une première, le ministère anticipe notre boycott et d'emblée, il nous convie à une autre séance en cas de non quorum", ajoutent les organisations syndicales dans leur communiqué commun.

En raison de cet appel au boycott, le quorum (deux tiers des membres) ne sera pas atteint vendredi. Selon l'organisation syndicale FO, le ministère de la fonction publique a donc adressé une deuxième convocation pour le mercredi 17 février, pour laquelle le nouveau quorum (moitié des membres) devrait être atteint avec la présence du SNCH.

Les organisations syndicales annonçant le boycott rappellent qu'elles ont "refusé systématiquement" la suppression du droit de départ à la retraite à 55 ans pour les infirmiers au cours des séances de négociations sur le projet de protocole et "dénoncent le chantage fait aux professionnels de santé d'une augmentation de leur salaire (...) contre l'abandon de la possibilité de partir à 55 ans".

"En conséquence, elles invitent le gouvernement à retirer ce projet et à ouvrir un chantier sur la pénibilité au travail", ajoutent-elles.

Tout juste après validé "leur" protocole, le gouvernement veut maintenant changer les règles du dialogue social, pour encore une fois, par effet de communication, faire croire à un semblant de démocratie.

J'attends avec impatience la révolte de tous les syndicats (et des infirmiers et infirmières de France) en adhérant au mouvement unitaire des IADE du jeudi 11 mars prochain, et ce pour la revalorisation de toute la profession infirmière. A 300000 de la FPH, on sera plus fort qu'à 7500.
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Message par Arnaud BASSEZ » ven. févr. 12, 2010 4:33 pm

Merci de citer tes sources Gaëtan
On se doute que c'est un journaliste qui a écrit ceci.
La preuve ? Une superbe faute d'accord de genre...:roll:
Les organisations syndicales, réunies en intersyndicale, qualifient de "provocation" la décision du gouvernement d'utiliser, selon eux, le projet de loi[...]
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Message par Gaetan CLEMENCEAU » ven. févr. 12, 2010 5:23 pm

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Message par Arnaud BASSEZ » ven. févr. 12, 2010 6:16 pm

Réingénierie du diplôme d'État d'infirmier anesthésiste, état des lieux

En janvier 2008, la Direction de l'hospitalisation et de l'offre de soins (Dhos) débutait un travail de ré ingénierie du diplôme d'infirmier anesthésiste, dans la continuité des travaux engagés pour les diplômes des professions de santé. I Un groupe de travail composé d'infirmiers anesthésistes appartenant au syndicat national des infirmiers anesthésiste (Snia), au comité d'entente des écoles d'infirmiers anesthésistes (Ceeiade), à la fédération internationale des infirmiers anesthésistes (Ifna), auxquels se sont joints des représentants d'organisations syndicales ou d'établissements, des médecins anesthésistes (Société française d'anesthésie et de réanimation - Sfar -, Collège français des anesthésistes réanimateurs - Cfar), s'est approprié la méthodologie choisie par la Dhos.

À ce jour, les référentiels d'activités et de compétences de l'infirmier anesthésiste, les critères et les indicateurs correspondants sont rédigés. Le groupe a travaillé en se référant à l'activité et à la compétence "cœur de métier". Une réunion de supervision a validé les sept compétences retenues avec un préambule inscrivant cette description dans la réglementation actuelle du code de la santé publique. Depuis juillet, le groupe recherche les situations professionnelles clés qui couvrent l'ensemble des compétences afin de lister les savoirs pour comprendre et agir, et les transposer dans le nouveau référentiel de formation.

À la réunion du 6 novembre 2009, la Dhos suspend le travail sur le référentiel de formation et demande une réflexion sur les masters et les pratiques avancées. La réflexion se fera en lien avec les coopérations entre professionnels de santé (loi Hôpital, Patients, Santé et Territoires), en ciblant les activités hors champ de l'exercice actuel et les activités nouvelles réalisées par l'infirmier anesthésiste. Le groupe élargi de médecins anesthésistes réanimateurs (MAR) et d'Iade s'est réuni dès janvier 2010. À suivre. •

Danie Boudiguet,
Directrice de l'école
d'infirmier(e)s anesthésistes

source Oxymag
de Lille (59), et représentante du Ceeiade
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Message par Arnaud BASSEZ » mer. févr. 17, 2010 5:22 pm

source JIM

Même si elle a pu qualifier devant la presse le protocole d’accord relatif à la revalorisation du statut des infirmières « d’historique », le ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, manque d’assurance sur ce dossier. Elle n’ignore pas en effet que le refus de signer de la majorité des organisations syndicales (seul le Syndicat national des cadres hospitaliers, SNCH a ratifié l’ensemble du texte) fragilise très fortement le dispositif proposé, qui offre aux infirmières la possibilité d’un passage en catégorie A, moyennant un renoncement à leur départ à la retraite à 55 ans.

Témoignant de sa parfaite conscience de la fronde qui s’est dressée contre ce projet, le ministre de la Santé a convoqué les organisations syndicales à deux séances successives du conseil supérieur de la fonction publique hospitalière (CSFPH), prévoyant que la première serait inévitablement boycottée. La réunion « en urgence » du CSFPH ce vendredi 12 février était destinée à valider le protocole d’accord, qui pour être totalement entériné doit être soumis aux parlementaires, ce que le gouvernement se propose de faire en l’intégrant à la loi relative à la rénovation du dialogue social dans la fonction publique qui doit être examinée fin mars par l’Assemblée nationale.

Une méthode jugée avec sévérité

Au-delà du fait que le protocole est majoritairement rejeté par les syndicats, la méthode employée a été largement dénoncée. La tactique consistant à convier les organisations à deux réunions a d’abord été sévèrement moquée. « Le comble et c’est une première, le ministère anticipe notre boycott et d’emblée, il nous convie à une autre séance (fixée au 17 février, ndrl) », s’indignent la CGT, la CFDT, FO, Sud, Unsa, la CFTC et la CFE-CGC dans un communiqué commun.

En outre, les organisations n’ont pas manqué de s’étonner de la « rapidité et du passage en force de ces textes alors qu’[elles attendent] depuis plusieurs séances de siéger sur le décret ‘frais de transport’ ». Aussi, sans surprise et comme le ministère l’avait pressenti, les sept syndicats ont opté pour la politique de la chaise vide et l’absence de plus d’un tiers des membres n’a pas permis de tenir séance. Cependant, lors de la prochaine réunion du 17 février, la présence de la moitié des membres seulement sera, un quota qui devrait être rempli en raison de la participation des représentants du SNCH.

Grève le 11 mars

Si le texte devrait donc être finalement adopté par le CSFPH, les syndicats n’ont cependant pas l’intention de faire taire leurs contestations. Leur colère ne peut en effet aujourd’hui qu’être attisée par le sentiment qu’avec un tel dispositif, le gouvernement, confronté à la réforme des retraites, tente de faire l’économie d’un débat sur la pénibilité du travail des infirmières. De fait, parmi les différentes revendications qui seront défendues le 11 mars à l’occasion d’une journée de grève et de mobilisation nationale des infirmières, figure la volonté d’obtenir « le maintien de la reconnaissance de la pénibilité (catégorie active et bonification d’un an tous les 10 ans) ».

Cette journée d’action est organisée à l’appel de la Coordination nationale infirmière (CNI), du Syndicat national des infirmiers anesthésistes (SNIA), du Syndicat national des infirmières conseillères de santé FSU (SNICS-FSU), du Syndicat national des infirmières éducatrices de santé UNSA (SNIES-UNSA) et du Syndicat national des professionnels infirmiers CFE-CGC (SNPI CFE-CGC). Ces organisations indiquent qu’elles attendent du gouvernement « l’ouverture de négociations pour la fonction publique d’état » ainsi que la « réouverture des négociations pour la fonction publique hospitalière » afin d’obtenir « une véritable revalorisation sur une grille A type pour la profession infirmière ».
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Message par Arnaud BASSEZ » mer. févr. 17, 2010 5:54 pm

Deux syndicats de médecins bretons appellent à la fermeture des cabinets le 11 mars

Il s’agit de protester contre le « mépris » du gouvernement à l’encontre des médecins généralistes, symbolisé selon les syndicats par le blocage du C.

Rappelez-moi quand tombe la date de la manif nationale IADE/IDE ?
Étonnant non ?
on parie qu'on en parlera moins que le mouvement des médecins bretons ?
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Message par Éric DELMAS » mer. févr. 17, 2010 6:48 pm

Par contre le 17 aurait été une bonne date pour que les IADE parisiens aillent s'enchaîner aux portes de la salle où doit se tenir la réunion fantoche du CSFPH afin d'empêcher une nouvelle fois le quorum d'être réuni. En plus cela aurait permis de dire en face aux représentants du SNCH qu'on ne les oubliera pas dans une prochaine action commando.
Sylvain COELHO
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Message par Sylvain COELHO » dim. févr. 21, 2010 4:27 pm

bonjour,

Pour info, la Fédération nationale des étudiants en kinésithérapie (FNEK) appelle les etudiants kiné à une journée de mobilisation le 9 mars prochain.
Revendications :
- Intégration dans la 1ère année commune des études de santé
- Attribuer un grade de Master au Diplôme d’Etat de Masso-Kinésithérapie.
- Ajout d’une année supplémentaire d’études pour revaloriser la profession
- Etablissement d’un clinicat, stage long de 6 mois, à la fin de la 5ème année d’études.


Le lien de leur site : http://www.fnek.org/


Le 11 mars, nous, dont le public ne sait même pas que l’on existe et encore moins ce que l'on fait, nous allons en plus nous noyer dans la masse (IDE, IBODE) avec des syndicats qui émettent des revendications tous azimuts y compris anti ONI :!:

Le résultat de tout cela sera un bide total sauf celui de perdre de l’argent :!:

Je ne comprends décidément pas le SNIA qui accepte de s’associer à cette journée qui manifestement n’apportera rien aux IADE. Cela veut-il dire également qu’il lutte au même temps contre l’ONI :?:

Je pense que beaucoup d’entre nous auraient souhaité que soit mise en place une tactique (Eric l’à déjà évoqué sur ce site) avec des IADE pour défendre les intérêts et l’avenir des IADE, car LES VRAIS GRANDS PERDANTS DANS CETTE HISTOIRE CE SONT LES IADE.
Sylvain COELHO

IADE CHAMBERY
Éric DELMAS

Message par Éric DELMAS » dim. févr. 21, 2010 5:37 pm

Puisqu'on en est à évoquer les comportements ubuesques, voici un courrier des syndicats nommés au HCPP qui râlent parce qu'ils viennent de s'apercevoir que le ministère utilise le HCPP à sa guise et parce qu'ils veulent que l'ONI ainsi que les ordres des kiné et pédicures en soient exclus au motif de leur non représentativité.
Je pense que le ministère va leur ressortir le taux d'infirmiers syndiqués pour leur rappeler qu'en matière de représentativité, ils n'ont pas grand chose à dire (3% au dernier relevé).
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