Modes d'exercice
Posté : lun. janv. 28, 2008 11:19 pm
J'ai lu un débat assez animé entre collègues.
Les intérimaires permanents se plaignant de se voir prendre leur place par des fonctionnaires cumulards.
Il ne faut pas inverser la réalité des faits.
Notre justification professionnelle est d'assurer nos missions au mieux des intérêts de nos patients.
Cela justifie que nous la fassions dans un cadre maîtrisé par une pratique régulière.
L'intérim qui était l'exception à une époque est devenu pour certains la règle car il permet de gérer son temps tout en s'attribuant une rémunération qui, à défaut d'être généreuse, est néanmoins supérieure à celle des collègues qui assurent la permanence des soins.
Venir maintenant se plaindre au motif que les missions se raréfient est un peu fort de café.
Il en va de cela comme du libéralisme. On ne peut le vanter quand il rapporte et appeler l'État au secours quand tout va mal.
Certains collègues ont envie de croquer aussi dans le joli gâteau ? En quoi cela peut-il vous étonner vous qui en avez fait une spécialité ?
N'oubliez pas que pendant que vous vous goinfriez ils assuraient l'intendance dans ces services où vous passez en coup de vent et en doublant leur salaire.
Alors, si aujourd'hui la mariée est moins belle, rappelez-vous que vous pouvez faire comme eux, c'est à dire prendre un poste permanent dans un service où vous assumerez toutes les charges pour un salaire moindre et, eux, ils ne vous feront pas de reproches d'être venu occuper ces postes vacants depuis si longtemps.
Les intérimaires permanents se plaignant de se voir prendre leur place par des fonctionnaires cumulards.
Il ne faut pas inverser la réalité des faits.
Notre justification professionnelle est d'assurer nos missions au mieux des intérêts de nos patients.
Cela justifie que nous la fassions dans un cadre maîtrisé par une pratique régulière.
L'intérim qui était l'exception à une époque est devenu pour certains la règle car il permet de gérer son temps tout en s'attribuant une rémunération qui, à défaut d'être généreuse, est néanmoins supérieure à celle des collègues qui assurent la permanence des soins.
Venir maintenant se plaindre au motif que les missions se raréfient est un peu fort de café.
Il en va de cela comme du libéralisme. On ne peut le vanter quand il rapporte et appeler l'État au secours quand tout va mal.
Certains collègues ont envie de croquer aussi dans le joli gâteau ? En quoi cela peut-il vous étonner vous qui en avez fait une spécialité ?
N'oubliez pas que pendant que vous vous goinfriez ils assuraient l'intendance dans ces services où vous passez en coup de vent et en doublant leur salaire.
Alors, si aujourd'hui la mariée est moins belle, rappelez-vous que vous pouvez faire comme eux, c'est à dire prendre un poste permanent dans un service où vous assumerez toutes les charges pour un salaire moindre et, eux, ils ne vous feront pas de reproches d'être venu occuper ces postes vacants depuis si longtemps.