SOFIA

On peut tout demander. Reste à savoir si des gens qui ont lancé ce projet en se gardant bien d'y impliquer les premiers intéressés ont l'intention de changer de comportement et d'objectif pour la suite.

Une brève pour les EGAR
j'ai le numéro vigilance (revue de la SFAR) de septembre 2009.
Tous les acteurs de l'anesthésie sont conviés à ces EGAR. (MAR, IADE, IDE, Labos, DHOS, ARS, HAS, mission T2A, FHF, FHP, FEHAP, DRASS, Ordre des médecins, Doyens, patients, journalistes, constructeurs d'hôpitaux, commission de santé de l'assemblée nationale...)

Mais ce n'est pas à la SFAR de permettre ou pas des IDE DU anesthésie.
C'est à nous de nous y opposer formellement, de bloquer les blocs au besoin, et surtout de considérer comme inamicale la présence de ces IDE en salle d'op.
Donc, voyons la forme que prendra la présence des IADE à ces EGAR.
SNIA ?
Syndicats ?
IADE ?
Site internet de IADE ?
Directeurs d'école de IADE ?

à suivre de très près.

Si des journalistes sont effectivement présents aux EGAR, ça peut être une belle occasion de nous faire entendre.

A voir.
car on ne froisse pas son hôte.

il est vrai que certains MAR veulent une petite main qui fait tout certains ide seront interressés
n'oublions pas qu'il y a 10-12ans des ide faisaient de l'anesthesie
ce serait un piètre retour en arrière.
certains de ces ide disaient on faisait des choses mais on a vraiment compris que lorsque nous avons fait l'ecole d'IADE.
il est temps de montrer se que nous voulons .Nous sommes autonomes ds notre travail soyons capables de nous prendre en main!
je travail ds le public avec peu d'anesthesiste si ça se passe bien c'est grace à notre vigilance .
nous avons appris ça ne s'invente pas!

Il est vrai que cette rumeur, je l'ai entendu (ou plutôt lu) voici un peu plus de 2 mois sur le blog laryngo.com ; par un IADE parisien qui rajoutait qu'il n'y aurait pas de promotion professionelle pour les études d'IADE à l'AP/HP à la rentrée 2010.

L'un peut confirmer (ou confirme) l'autre et vice et versa. Et si ces 2 rumeurs deviennent information (donc confirmation !) notre sort sera définitivement jeté !

Le SNPHAR publie un communiqué de soutien à la profession IADE.
Quand on sait que le nom qui revient le plus souvent dans le projet de création d'un DU d'anesthésie pour les IDE dont le but est clairement de déposséder les IADE de leur statut, est celui d'un ancien secrétaire général du SNPHAR, on ne peut que sourire.

l'homme de fer ?

Quel énigme ! Iron Man aux initiales gay....

Je rappelle que ce docteur nous appelait les infirmier(e)s inesthétiques, du temps où je bossais avec lui.
Et j'ai le souvenir des corrections de séquences qu'il emmenait au bloc...

Cela étant, puisque le SNPHAR semble prendre la mesure de la catastrophe annoncée, et que la sécurité anesthésique régresserait de manière inacceptable, je propose au syndicat des PH, et aussi au SMARNU de s'associer à notre mouvement de grève, afin de montrer la pleine et entière cohésion des professionnels de l'anesthésie en France.

Nous y verrions là un vrai engagement de leur part.
Et une volonté de sauver l'excellence de notre spécialité.
De notre art.

Un art
Un MAR
Deux raisons d'avoir un IADE

Pour ne pas finir en MAR à bout...

Iron Man. Amusant mais exact.
Il faut arrêter de rêver. Le SNPHAR est le bras armé de la SFAR qui n'a plus de société savante que le nom.
Ce n'est plus du lobbying mais carrément du kidnapping de l'anesthésie, tout du moins dans son approche théorique.
Car comme le disait si bien le monsieur sus-cité lors de son intervention comique aux assises IADE, sur le terrain le mAR a toute latitude pour apprécier ce qu'il peut laisser faire à l'IADE.

Et nous avons toute latitude (ou l'attitude !) de les laisser seule en salle, et surtout de les appeller à n'importe quel moment ou encore mieux à tout moment pour leur signaler toutes les mésaventures in-homéostasiques de leurs patients !

Rappelons leur, en prenant en otages par la grève représentative (plus de 2000 IADE sur le pavé soit 30 % ), nos collaborateurs chirurgiens et autres médecins spécialistes demandeurs de cette prestation, mais aussi les comptes du directeur d'établissement qui n'a plus le droit au déficit, nos élus-décideurs en constante campagne éléctorale, et la population française avide de soins (de consomation), cette vérité qu'il n'y aurait pas 8 millions d'acte anesthésiques par an en France, si nous n'existions pas (avec notre formation de 2 ans supplémentaire depuis 1971 !)

A eux tous de choisir !
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maugeois
IADE Cholet