Là, il doit y avoir des sens cachés que je n'ai pas compris. « Les 3 qu'on perd », s'il s'agit des bœufs attelés, il me semble que Ringo n'est pas mort ? Quant au jingle d'intro de ce morceau, on l'entend un peu partout (ça fait très jingle d'aéroport), mais il me semble que ça provient de l'intro de If I were a bell, par The Miles Davis Quintet (1956).
Il est probable que les disques de Chuck Berry étaient dans la bibliothèque des membres des Beatles (et de Cabrel, Mitchell, Dick Rivers...).
De mémoire
(valent mieux qu'une) les bœufs attelés, qu'on nommait aussi Fab Four, les fameuh quatre, n'ont jamais joué à Troyes, mais à Versailles, Paris, Lyon et Nice, seulement, mais par contre à Detroit, et aussi à trois lorsque Ringo s'était fait sauter les amygdales (je n'ai pas le protocole!) mais je devine la barbarie...Oui à trois car le batteur aux bagues a été quelque temps remplacé par un certain Jimmy Nicol (qui n'a pas recueilli toutes les adhésions... Uh uh...).
Quant à l'intro parfois jouée avec des harmoniques, je ne pense pas que ce soit Big Miles qui soit au tout début de l'histoire, mais plutôt
Mister Big
Oui donc les trois compères avec Paul,....comme les bœufs attelés battaient de l'aile il a pris son envol avec Wings...sans doute trop à l'étroit...(
) avec les autres bœufs attelés...
Bon, j'arrête...
Il y a quelques adaptations du Moine qui sont tout à fait présentables. Always something there to remind me a donné Toujours un coin qui me rappelle, et ça aussi c'était à ses débuts (1964). Tenez, un exemple d'un titre sans intérêt qui a donné lieu à deux adaptations, dont une de Eddy Mitchell. Every day I have to cry, par Steve Alamo, 1963. C'est adapté par et pour Claude François, et ça donne Chaque jour c'est la même chose, et àmha ça n'a aucun intérêt. Quelques années plus tard, Claude Moine en fait une adaptation beaucoup plus éloignée de l'original, Tu peux préparer le café noir.
Les adaptations, on pourrait en faire un roman et passer une sacrée soirée, j'avais repéré un forum dédié, je vais rechercher ça...c'est archi instructif et marrant à la fois...bon... l'ironie est la règle...
Bon sinon pour Steve ALAIMO versus Glaude FRANCOIS, j'ai pas les mots pour dire que je préfère l'original!
A ce propos, j'ignore pourquoi c'est Becaud qu'on surnomme Monsieur cent milles volts et pas le Glaude, j'ampère mon latin parfois...
Eddy et le café noir...ma foi, en tout cas ça correspond à son style country rock californien, avec la pedale steel guitar.....c'est pas inintéressant!
C'est bien du schmoll...au fait pourquoi "Moine"????
Bon..faut que je retouve ce fameux site!
Si certains titres n'y sont pas c'est qu'ils sont bons?
Ah le voici le
voilou
une pépite en attendant, une qui plaira pas forcément aux amateurs de
BOB