Société Française des Infirmier(e)s Anesthésistes
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Docteur maison

Dans un entretien avec notre vile connaissance, le
directeur de l’Agence régionale de santé (ARS) d’Ile de France, revient sur les problèmes
d’organisation des blocs chirurgicaux de nuit. Il évoque le manque de cohérence, la déperdition des
moyens, et la mauvaise répartition territoriale de l’offre de soins.

Parmi les pistes possibles, Claude
Evin cite l’instauration de demi-gardes, qui permettraient de mobiliser suffisamment de spécialistes sur
chaque territoire entre 18H30 et minuit, sachant qu’au-delà de minuit, l’activité est quasi nulle. (ah bon ?!)

Le directeur de l’ARS d’Ile de France se donne jusqu’au printemps pour élaborer un schéma
d’organisation sanitaire cohérent, avec la définition de services qui auront des cahiers des charges
précis.

A donf !

source Libération


Jean-Loup Durousset, président de la
Fédération hospitalière privée (FHP) s’oppose au discours habituel sur la qualité des soins.

Spécialisation extrême des médecins ou proximité géographique des établissements de santé ?

Pour
le président de la FHP, la France ne peut refuser de choisir. « Les coûts explosent. Pour assurer un
service d’urgences chirurgicales 24 heures sur 24, il ne faudra bientôt plus trois ou quatre
orthopédistes, mais trois ou quatre spécialistes de la main, autant de spécialistes du coude, de
l’épaule, de la hanche ou du pied. C’est intenable pour le public comme pour le privé, sauf si on
diminue en parallèle le nombre d’établissements en les regroupant », souligne Jean-Loup Durousset,
qui préconise d’inverser cette tendance à la spécialisation dans un ouvrage intitulé « Le privé peut-il
guérir l’hôpital ? ».

source Le Figaro économie


Les autorités sanitaires de Hong-Kong ont annoncé le 18 novembre un cas de
grippe aviaire sur leur territoire. Le virus H5N1 a été détecté sur une femme de 59 ans de retour de
Chine continentale. Le gouvernement Hongkongais a relevé à « sérieux », le niveau d’alerte sur la
maladie.

Que l’on se rassure. Il ne s’agit pas de Roselyne Bachelot. Celle-ci a contracté la "dingue", comme vu sur le dos d’un manifestant le 1er octobre 2010.

AB