Société Française des Infirmier(e)s Anesthésistes
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La zizONI

L’ONI passe la vitesse supérieure en tentant de ratisser au plus large les subsides nécessaires à sa survie. La présidente Dominique Le Bœuf toujours droite dans ses bottes est sûre de son cap.

Pour autant, la méthode ne convainc pas, et certains s’en détournent.

C’est ainsi que deux personnes occupant des postes prédominant au sein de l’ONI, mesdames Myriam Petit, secrétaire nationale et présidente du département des Hauts de Seine et Kine Veyer, secrétaire nationale adjointe et présidente du conseil régional de l’Ile de France, ont démissionné du bureau de l’Ordre national infirmier en stigmatisant une situation " extrêmement préoccupante " et " l’impossibilité pour le bureau de prendre des décisions éclairées ".

Elles évoquent des " Désaccords profonds [...] sur l’analyse de la situation actuelle de l’ordre " , ou encore " direction qui ne me satisfait pas, et ne me semble pas convenir ni à la pérennité de l’ordre ni à l’ensemble de nos consœurs et confrères ."

La catastrophe se poursuit et les rats quittent le navire qui prend l’eau de toute part.

Car la profession résiste encore et toujours face à l’ONI et la vie n’est pas facile pour la garnison ordinale.

Après la démission le 27 avril, du président du CDOI 65 (Hautes Pyrénées) et du président du CROI Midi Pyrénées, Mr Christophe Bouchet, qui au soir du 19 avril, a décidé de rendre les clés des locaux du siège régional, c’est le bureau du conseil départemental de Gironde qui a démissionné le 5 mai, en adressant à l’adresse de la présidente Le Boeuf : " Votre autisme à toute évolution, changement, nous précipite chaque jour un peu plus dans une logique d’autodestruction ."

Le prochain conseil national de l’Ordre infirmier aura lieu le 31 mai prochain. Les déserteurs sont légions.

L’implosion guette.

La fin de l’ONI a été pronostiquée ici même, le 30 avril 2011.

Après la devise des sapeurs pompiers de Paris (Sauver ou périr) la devise de l’ONI : Se sauver et laisser périr ?

AB